Dédicace spéciale pour Nadine M.
« Voyez vous, il y a de l’autre côté de la Méditerranée, une culture, un humanisme, un sens des rapports humains que nous avons tendance à perdre et qu’un jour nous seront probablement contents de retrouver chez eux… Si nous voulons, autour de cette Méditerranée, construire une civilisation industrielle qui ne passe pas par le modèle américain et dans laquelle l’homme sera une fin et non un moyen, alors il faut que nos cultures s’ouvrent très largement l’une à l’autre. »
Général De Gaulle
Citation extraite du Paris Arabe de P.Blanchard, E. Deroo, D. El Yazami, P. Fournié et G.Manceron, La Découverte, 2003. Ces propos ont été recueillis par Paul Balta en janvier 1969 (Méditerranée – Défi et enjeux, L’Harmattan 2000).
Commentaires
Naaaaaaaaadine toi même!!!!!
Morano….. la pauvre avec un nom pareil pas étonnant qu'elle se tape des complexes… Bon d'accord elle est née Nadine Pucelle mais qui pourrait lui en vouloir…. a été (modifié Pugelle en 1975 sur base d'un décret) d'après wiki… Pas de pot elle se marie et là paf sur le pif elle chope morano comme nom…. double pas de pot…
L’origine de l’appellation marranes ou Marranos est incertaine. L’étymologie la plus communément retenue est celle de l’espagnol marrano, signifiant cochon (lui-même dérivé de l’arabe محرّم (muḥarram) signifiant « rituellement interdit », se référant à la prohibition de la viande de porc des religions juive et musulmane).
Une autre explication suggère qu’il proviendrait de l’araméen maranatha (en) (מרנא תא (maranâ' thâ' ) ou מרן אתא (maran 'athâ' )) qui signifie le seigneur est venu1. Ce terme aurait été alors tourné en dérision par les Catholiques ou les Juifs non convertis, et appliqué aux Juifs qui ont choisi/subi la conversion. D’autres étymologies possibles sont l’hébreu mumar (apostat), les mots arabes marana (pliant, flexible) ou barrani (étranger).
Quelle que soit l’origine du mot, l’aspect péjoratif du terme est évident et corroboré par d’autres appellations que l’on rencontrait dans cette région
De Gaulle, toujours étonnament lucide. Il nous a fallu des décennies pour découvrir cela par nous-mêmes alors que c'était à nos portes; pour comprendre que la délinquance est l'arbre qui cache la forêt...
Le pédagogue :
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-deux-églises, mais Colombey-les-deux-mosquées ».
(Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome 1, Paris, éditions de Fallois/Fayard, 1994.
Benjamin Stora, Le transfert d'une mémoire, Paris, éditions. la Découverte, 1999).