« Seule, la mer au loin reste intacte. Berceau de nos haines, nos peurs, nos lâchetés. Je me sens attiré vers cette mer visqueuse, pleine de cadavres et de jeunesse affamée. Pleine d’espoir et de cris. »
Kaouther Adimi, L’envers des autres, Actes Sud, 2011
Commentaires
Et si l'Europe exportait ses savoir-faire et ses richesses ? ...On appellerait ça la recolonisation... Ca ne plairait pas à tout le monde...
Le savoir est une richesse qui appartient à tous....
La richesse un bien qui n'appartient plus qu'à quelques uns...
Non, je ne pense pas qu'on appellerait cela de la recolonisation, mais de la philanthropie...
Bien sûr que non ça ne plairait pas à tout le monde, surtout aux quelques uns qui possèdent les richesses...