« Je savais intuitivement que la pierre conserve les secrets, qu’on peut y murmurer ses peines. Mais cela ne l’empêche pas de rester droite et froide afin de regarder chaque jour la couleur du ciel. Un mur reflète et absorbe, me disais-je, un mur ne pleure pas. C’est ainsi qu’il faut être dans la vie. »
Tania Sollogoub, La Maison russe, La Martinière 2014