« Y’a pas de maman, pas de papa, plus de grands frères, plus de grandes sœurs… Ton bonheur… Tu dois le tailler… avec la fine… pointe… de ton couteau… Tu lècheras le sang avec ta propre langue… Tout passe, même l’insupportable… Quelque part dans le monde, quelqu’un continue de ciseler une prière sur un grain de riz… inlassablement… »
Abla Farhoud, Quand le vautour danse, Lansman 1997