« Comment peux-tu accepter de ne pas te rendre dans la patrie d’une langue étrangère, dans le foyer d’une pensée différente de la tienne ? Le béret de l’étranger abrite peut-être des pensées et des réflexions qui n’ont jamais effleuré le dessous de ton fez : il se peut qu’elles te fassent méditer, qu’elles suscitent en toi l’envie de connaître le cerveau qui les abrite » ?
Faris Chidyaq, La Jambe sur la jambe, Phébus, 1991
Commentaires
Une excellente citation et je vais m'informer sur l'auteur... Je me suis permis de la publier sur FB :-)